Tout comme l’asile-colis qui touche les personnes au moment où elles ont le plaisir de découvrir leurs produits commandés, les encarts-presse sont découverts par les prospects au moment où ils ouvrent leur nouveau magazine, c’est-à-dire également lors d’un moment agréable.

Les encarts-presse peuvent être « jetés », c’est-à-dire insérés à la fin du magazine mis sous film, ou « brochés », c’est-à-dire agrafés au milieu du magazine.

Dans les 2 cas, et comme pour les asiles-colis, des contraintes techniques sont à respecter en termes de poids et format pour pouvoir être accepté dans le magazine.